José Souleymane, représentant résident du Fonds monétaire international-FMI, en Guinée a reçu hier mercredi 17 avril à son bureau à Conakry le réseau des journalistes pour la protection sociale. Les échanges entre les journalistes présents, en tête leur président Mamadou Oury Diallo, auront porté sur la présentation du réseau à M. Souleymane en vue trouver des voies et moyens de collaborer et l’accompagner à travers l’identification des volets axés sur des questions de protection sociale au niveau de son institution.
Visiblement, très satisfait de savoir l’existence de ce réseau en Guinée pour la première fois depuis quatre bonnes année qu’il officie à Conakry, ce commis du FMI ne s’est nullement privé de déclarer qu’une organisation comme la vôtre, venant des médias ou de la Société civile, qui doit s’organiser pour comprendre les enjeux sociaux, c’est très important pour participer dans le processus démocratique dans votre pays. La démocratie c’est la discussion des différentes institutions des questions essentielles du pays de façon à améliorer la qualité de la vie de la population et l’économie, en général ».
Pour M. Souleymane, « dans ce contexte, je pense que cette organisation va avoir un rôle très important dans le développement du pays ».
Quid des questions de protection sociale ? «Pour des questions de protection sociale au niveau du fonds monétaire international, ce que je peux vous dire, c’est de voir du côté du programme de la facilité élargie des crédits courants-FEC, que la Guinée a conclu avec le FMI. Il y a des enjeux de protection sociale inclus dans le programme FEC.
Comme Par exemple comment améliorer le financement interne pour les filets sociaux pour les couches vulnérables dans la Société, afin de combler des mesures liées aux réformes du système de prix et d’autres types d’activités qui sont importantes. C’est de voir dans le programme FEC, ce qui peut vous aider à faire le suivi des mesures. »
Youssouf Diallo
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